Divorce et nullité de mariage

Les derniers Témoignages sur Divorce et nullité de mariage

J’ai tenu à  lire cet ouvrage pour 2 raisons : 

. L’une parce que je connais Sophie depuis plus de 25 ans et je désirais mieux la connaître à  travers ce long et douloureux parcours à  propos de la nullité de son mariage.  J’ai retrouvé une femme courageuse, passionnée par ce qu’elle entreprend , de foi positive toujours au service de son Église,  alors que bon nombre de divorcés s’en sont éloignés à  cause de cette mise à l’écart. 

. L’autre, comme chrétien catholique,  pour approcher plus en profondeur les tenants canoniques,  les ressentis et les questionnements d’une divorcée,  re-vivant en couple. Ce livre a rempli toutes mes attentes du point de vue des positions de l’Eglise compte tenu du droit canon et des tentatives d’évolution de cette dernière,  notamment avec le pape François.  Ce livre est complet et bien documenté. Son auteur souhaite voir advenir une ÉGLISE plus à l’exemple de Jésus qui nous a enseigné le pardon et l’amour du prochain ( Jésus a pardonné sans juger la samaritaine mariée 5 fois !) et non le dogme et l’intransigeance.  

L’Eglise catholique,  à l’instar de l’Eglise orthodoxe, doit accueillir les divorcés remariés ou en couple, dans un long accompagnement pour arriver à un pardon, une bénédiction et une réconciliation par la communion.  

Je dirai , en période de l’Avent,  nous n’avons plus à attendre la nuit des temps , car la venue de Jésus,  Dieu d’amour , de joie , de pardon et de partage , C’EST MAINTENANT. 

   Merci pour ce livre , pour Votre courage et votre foi en votre famille et en l’Eglise catholique et bravo pour votre positionnement positif pour faire évoluer notre Église. 

Je vous embrasse 

Bertrand H 28/11/2020

J’ai été passionnée par le livre de Sophie Touttée Henrotte : une mine d’informations, au terme d’une sacrée exploration ! 

Je lui suis très reconnaissante d’avoir fait ces patientes recherches sur un sujet non résolu par l’Eglise, dont les tiraillements internes entre doctrine et pastorale laissent clercs et laïcs dans une situation insoluble, source de tensions, de déceptions, voire de ruptures.

L’auteure a été d’un courage exemplaire, trop attachée à la vérité pour céder à la bienséance facile et mensongère de la « nullité » de son mariage. Bravo pour cette persévérance envers et contre tout : voilà une chrétienne qui, au prix de l’exclusion des sacrements, est restée fidèle à sa Foi et à l’Eglise par sa fidélité à la vérité. De quoi méditer sur la tendance des instances religieuses à régler par des compromissions « de forme » un vide théologique sur les situations qui sortent du catalogue officiel.

Merci encore pour ce témoignage sincère, documenté, d’autant plus efficace que sa hauteur de réflexion, loin de mêler sa voix à celle des bouffeurs de curés, révèle un profond attachement à l’Eglise.

Florence E.  Octobre 2020

Paul Wiedemann-Goiran4,0 sur 5 étoiles Témoignage riche et touchant Commenté en France le 22 juillet 2020

Prêtre catholique, je connaissais Sophie de longue date. J’ai lu avec beaucoup d’intérêt son deuxième livre. J’y ai appris beaucoup de choses sur les procédures de non validité d’échange des consentement. J’ai découvert aussi la fermeté et la cohérence des convictions de l’auteur.
Une lecture marquante, que je recommande à tous ceux qui sont confrontés aux divorces et nullité de mariage.
Père Paul WG

Sophie est jeune, aventurière, engagée, curieuse de la vie et des autres, croyante. Un mariage d’amour est concrétisé avec l’arrivée de trois enfants.
Mais les liens avec son époux se distendent. Sophie divorce.
Une histoire malheureusement classique ? Sans doute… Mais 6 ans après son divorce, Sophie apprend par lettre recommandée.. sans en avoir été informée auparavant, que son ex-époux demande la nullité de son mariage religieux.
Sophie va connaitre la tristesse, la colère , l’incompréhension devant cette situation.
Le livre, tout à fait passionnant au début, nous montre et nous prouve combien il est difficile de faire face devant les tribunaux ecclésiastiques. Du jour au lendemain, elle doit se battre contre des institutions masculines, contre son ex-époux, contre une Eglise figée et sure d’elle-même, peut prompte au dialogue.
Sophie, comme tout ce qu’elle fait, décide de se plonger à fond dans les arcanes de la justice ecclésiale pour en comprendre le fonctionnement, décidée à se « battre », tout en respectant les dogmes catholiques.
4 ans seront nécessaires pour que son mariage ne soit pas annulé.
Un parcours de grande sportive, qu’elle est… et qu’elle a décidé de partager pour aider les personnes confrontés à cette très déstabilisante situation. Son témoignage sera, sans aucun doute, très éclairant, même si l’on se perd parfois dans la complexité des différentes juridictions…

Valérie Calemard, 10 juillet 2020

Profitant du confinement actuel qui s’impose à notre pays, et à beaucoup d’autres hélas, je viens de terminer la lecture du livre « Divorce et nullité de mariage » que m’a offert lors des fêtes de fin d’année, Catherine Auguste, l’une de mes filles qui habite Boulogne. Dans la dédicace que vous avez bien voulu faire, vous écriviez : « J’espère que nous pourrons partager ensemble après », le moment est donc venu pour moi de répondre à votre invitation.
Elle m’a offert ce livre, connaissant le rôle d’avocat ecclésiastique que je rends avec intérêt, empathie, et je l’espère compétence, depuis quinze ans, auprès de l’Officialité Interdiocésaine de Reims puis de Lille, à celles et ceux qui s’adressent à moi pour voir reconnue, selon l’expression que vous connaissez bien, l’invalidité d’une précédente union. Lorsque j’ai dû cesser mes activités professionnelles (Responsable Ressources Humaines dans des entreprises métallurgiques), mon évêque m’a demandé si j’accepterais de me former pour devenir avocat ecclésiastique. J’ai spontanément accepté et me suis donc inscrit à faculté de Théologie Catholique de l’Université (d’Etat) de Strasbourg où j’ai passé la licence, la maitrise devenue Master 1 et un DESS (devenu Master 2) en théologie et droit comparé des religions, option Droit canonique. Depuis que j’exerce cette responsabilité, j’ai rencontré une bonne centaine de personnes et j’ai introduit, accompagné, défendu une bonne cinquantaine de causes…

J’ai lu avec curiosité et beaucoup d’intérêt votre beau travail. Vous avez eu le courage d’aller au bout de ce que vous estimiez juste et vrai, et vous avez eu raison. Tout au long de cette expérience, vous avez eu le souci de noter toutes vos rencontres, toutes vos lectures, toutes vos réflexions, et l’écriture est un bon moyen d’objectiver ses préoccupations.
Le suspense est bien présent dans votre témoignage que j’ai lu avec ardeur ! Tout au long de votre livre, vous avez cité, blanc sur noir, les textes ‘sources’ ce qui rend votre ouvrage didactique sans être pesant, vous êtes prête, me semble-t-il, à obtenir la licence canonique de Droit Canonique !
Deux sujets m’ont particulièrement interpellé. Le premier concerne ce que vous nommez, à juste titre, les droits de la Défense, droits qui concerne tant le demandeur que le défendeur d’ailleurs. Le deuxième qui vous touche profondément, et je vous rejoins tout à fait dans votre incompréhension et votre révolte, même si vous avez su la maitriser, c’est celui de l’accès aux sacrements pour celles et ceux que l’Eglise appellent, indignement « les divorcés remariés » !

Sans développer ces points, qui le mériteraient pourtant, je souhaite plutôt partager quelques réflexions résultant de ma foi au Christ et en l’Eglise, de mes études et de mon expérience d’avocat.

  • L’Eglise, qui est définie comme l’épouse, le corps du Christ, le peuple de Dieu, est composée d’hommes, de pasteurs faillibles !
  • L’Eglise, comme toute institution, et pour éviter l’anarchie, ou pire l’arbitraire, à besoin de lois, de règles, toujours à appliquer dans le respect des personnes
  • L’Eglise Catholique a fait de cette réalité profondément humaine qu’est le mariage, une réalité spirituelle, théologique. Elle en a fait un sacrement au même titre que le baptême, l’eucharistie, et la confirmation et c’est sans doute là la source de toutes les difficultés. Pour elle, et vous l’écrivez bien, tout mariage valide est sacrement et devient donc indissoluble. A l’inverse tout mariage qui ne serait pas valide ne serait pas sacrement et donc dissoluble !
  • L’Eglise, devant les échecs nombreux, a eu conscience qu’il fallait faire preuve de compréhension, elle a donc imaginé ce que j’oserais appeler un bricolage ‘juridico-théologique’ pour sortir de nombreux chrétiens de l’impasse dans laquelle ils se trouvaient, d’où l’idée de dire que tout mariage qui n’était pas valide n’était pas sacrement….
    Lors de mes études à Strasbourg, j’ai eu l’occasion d’approfondir mes connaissances des Eglises Réformées et j’ai rédigé un court travail sur la conception qu’elles avaient du mariage. Je crois que nos frères protestants (Sola Scriptura, Sola Fides, Sola Gratia) se méfient des lois et des règlements et font plus confiance à la conscience personnelle, éclairée par l’Evangile…
    « Accueillir, accompagner, discerner, intégrer » écrivait le pape François dans son exhortation apostolique Amoris Laetitia sur laquelle vous revenez longuement dans votre livre. Oserai-je dire que l’intégration ne repose pas seulement sur l’avis souvent craintif de certains pasteurs mais aussi, et d’abord, sur votre conscience personnelle dont on peut dire, en vous lisant, qu’elle est bien éclairée aujourd’hui !
    Bravo encore pour votre livre qui m’a interpelé et qui m’a conduit à écrire ces quelques lignes qui mériteraient d’être développées sans doute, nuancées peut-être, mais elles sont sincères!
    Bien respectueusement et bien cordialement
A Chaumont le 30 mars 2020
Philippe Minaud

P.J. Copie d’un travail consacré au « mariage dans la discipline protestante »


Si vous êtes concerné(e)s directement ou indirectement par une procédure d’annulation de mariage, ce livre est une mine d’informations. Il est extrêmement bien documenté et raconte le parcours d’une femme qui est passée par là et qui précisément s’opposait à cette procédure initiée par son ex-conjoint. Le livre est bien écrit, les textes de référence sont bien mis en évidence. Si seulement tous les hommes d’église pouvaient eux-aussi s’imprégner de cette lecture pour pouvoir mieux accompagner leurs fidèles. Le livre aborde également le sujet des fidèles divorcés et vivant en concubinage et qui se voient de ce fait refuser l’accès aux sacrements religieux. Personnellement cette lecture, en particulier sur ce dernier sujet m’a plongé dans une profonde introspection et a soulevé des questions auxquelles je n’ai pas encore les réponses. Comme dirait l’auteure de ce livre, je suis en chemin, et c’est çà le plus important…

5,0 sur 5 étoiles Une mine d’informations Commenté en France le 1 mars 2020
Thierry S

Un livre incontournable pour tous les catholiques confrontés au divorce et au sujet de la nullité de mariage.
Sophie Touttée a été confrontée à une demande d’annulation de mariage de la part de son ex mari; elle témoigne de son expérience. Elle livre également quantité d’informations utiles, le tout dans un style qui se lit très facilement.
Je recommande chaudement.


5,0 sur 5 étoiles Incontournable sur ces sujets Commenté en France le 1 mars 2020
Stéphane P.

Une réaction sur “Les derniers Témoignages sur Divorce et nullité de mariage”

  1. Sophie est jeune, aventurière, engagée, curieuse de la vie et des autres, croyante. Un mariage d’amour est concrétisé avec l’arrivée de trois enfants.
    Mais les liens avec son époux se distendent. Sophie divorce.
    Une histoire malheureusement classique ? Sans doute… Mais 6 ans après son divorce, Sophie apprend par lettre recommandée.. sans en avoir été informée auparavant, que son ex-époux demande la nullité de son mariage religieux.
    Sophie va connaitre la tristesse, la colère , l’incompréhension devant cette situation.
    Le livre, tout à fait passionnant au début, nous montre et nous prouve combien il est difficile de faire face devant les tribunaux ecclésiastiques. Du jour au lendemain, elle doit se battre contre des institutions masculines, contre son ex-époux, contre une Eglise figée et sure d’elle-même, peut prompte au dialogue.
    Sophie, comme tout ce qu’elle fait, décide de se plonger à fond dans les arcanes de la justice ecclésiale pour en comprendre le fonctionnement, décidée à se « battre », tout en respectant les dogmes catholiques.
    4 ans seront nécessaires pour que son mariage ne soit pas annulé.
    Un parcours de grande sportive, qu’elle est… et qu’elle a décidé de partager pour aider les personnes confrontés à cette très déstabilisante situation. Son témoignage sera, sans aucun doute, très éclairant, même si l’on se perd parfois dans la complexité des différentes juridictions…

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